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22 avril 2009 3 22 /04 /avril /2009 16:42
 

Un château ! Ne pas le mordre, peut être le torpiller avec des lumières. La niaise en scintillant marcel, sur un nuage pour esquiver le moine stupéfait.

Rire et se sentir audacieux en rose sur les chardons.

Tordues sous les lenteurs à penser d'un vélo baudet puis courir avec des cheveux tendres pour ne pas crier.

 

Un baudet audacieux pensait à mordre dans les tendres chardons qu'il sentait au loin, au dessus d'un scintillant nuage.

Une niaise à vélo criait sous les lumières qui torpillaient le château. Elle esquivait le moine stupéfait qui riait. Tout deux couraient en marcel une rose dans les cheveux

Que de lenteurs tordues !

 

Un immense château de sable, mieux vaut ne pas le mordre à pleine dents, plutôt le torpiller avec des bombes à eau. Sous les lumières ardentes du soleil, une niaise se prélasse dans le sable scintillant. Torse nu sans son marcel sempiternel car aucuns nuages à l'horizon , juste le soleil à esquiver, se dit le moine stupéfait par la chaleur.

Hébété, il se met à rire, pour ne plus sentir la chaleur oppressante.

Il rêve au temps où audacieux, il recherchait la rose au milieu des chardons.

Vade retro pensées tordues. Pourquoi tant de lenteurs à penser ?

Prendre un vélo ou pourquoi pas un baudet et fuir cette chaleur.

Surtout ne pas courir, prendre son temps.

Les cheveux collés par l'eau salée ne sont plus très tendres.

Surtout ne pas crier.

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